Itinéraire

Itinéraire

Les "Sentiers de la mémoire" comprennent divers itinéraires qui relient Tesero, Stava et la zone minière du mont Prestavèl. L'image suivante montre l'itinéraire "Dove Stava una valle" de Tesero à Stava en jaune. Il est possible de revenir à Tesero par la "Via dei planeti" (en blanc) qui mène à l'Observatoire de Fiemme et, en continuant le long de la route goudronnée, au terrain de sport fermant ainsi un anneau pour un total d'environ 8 km. Le « Sentiero Stava 1985 », en vert, part de la ville de Stava pour rejoindre les lieux d'activité minière. "Dove Stava una valle"

Le village de Stava

[vc_row][vc_column][vc_column_text]La combe de Stava, où les versants s'adoucissent en accueillant le village homonyme, a toujours représenté un lieu de rencontre pour ceux qui vivaient, travaillaient ou étaient hôtes dans la vallée. Un réel développement dans le domaine touristique commença seulement depuis la première moitié du vingtième siècle et uniquement pour les vacances d'été.[/vc_column_text][vc_column_text]De l'hôtel le plus ancien, le "Stava", on a des nouvelles grâce à des documents de 1896 qui le classaient comme auberge. Au début du vingtième siècle il prit le nom de "Hotel Alpino" et pendant la première guerre mondiale, il dut changer son nom en "Gasthof Stave".[/vc_column_text][vc_column_text]En

Les sentiers la mémoire “Stava 1985”

Les lieux de la catastrophe du Val di Stava Mont Prestavèl et le Val di Stava ils font partie du territoire sur lequel se situent les lieux qui ont été le théâtre de l’activité minière et qui accueillait les décharges des boues résiduelles de l'exploitation minière qui sont effondrée le 19 juillet 1985. Les “Sentiers de la mémoire” comprennent divers itinéraires qui relient Tesero, Stava et la zone minière du mont Prestavèl. Les maisons de le Rue des Moulins, qui étaient principalement des moulins, des scieries et des ateliers de menuiserie, ont été construites directement sur les rives du ruisseau

Les fermes de montagne

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Dans le passé, il y avait plusieurs fermes de montagne le long de la vallée de Stava. Elles étaient indiquées par le nom “masi”. Sauf quelques exceptions, elles étaient habitées seulement en été par les paysans de Tesero: ils se déplaçaient du village pour la fenaison et pour le paturage du bétail. Normalement la ferme était une modeste construction à deux étages (un étage était normalement en sous-sol), couverte par un grand toit en pente. A l'étage au-dessous on trouvait l’étable et la cuisine construites en maçonnerie. D’habitude, l'étage au-dessus, avec des murs périmétraux en troncs d'arbres, était entièrement occupé

L’eau du Rio Stava

[vc_row][vc_column][vc_column_text]La présence d’un cours d’eau à un bon débit pendant toutes les saisons a favorisé les établissements humains et l’installation de laboratoires le long de ses rives. Le principe d’exploitation de l'énergie produite par l’écoulement de l’eau était le même pour les moulins, les menuiseries, les scieries et les forges disséminés le long des rives du torrent. À l’aide de canalisations l’eau était prélevée du torrent et conduite à proximité d’une roue reliée directement au mât principal. Le mouvement était transmis du mât principal vers les différentes machines du laboratoire par des organes de rattachement comme des courroies, des engrenages

Les scieries

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Dans les nombreuses scieries sur le Rio Stava on produisait du bois semi-ouvré, utilisé dans les bâtiments et dans les menuiseries. Les scieries se sont répandues sur les Alpes à l’apogée de l’expansion de la République de Venise, grâce à la grande demande de bois. La “scierie vénitienne" était équipée d'une scie à lame unique, fonctionnant grâce à la force hydraulique et utilisée pour sectionner les troncs. Les planches ou les poutres obtenues étaient de différentes épaisseurs. Dans la localité “Cerin” la scierie “de la Municipalité”, située près de l’actuelle place sur la gauche orographique du torrent, fut un des

La “Chenàra’

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Le séchoir pour la production des graines de conifère était peut-être le bâtiment le plus original de la rue des Moulins à Tesero. Le nom “Chenàra”, avec lequel était appelée l’installation, vient de “chéni”, le terme que les locaux utilisaient pour se référer aux strobiles ou aux cônes de conifères. Les fourneaux et les différentes machines permettaient le séchage des strobiles, l’extraction des graines, leur nettoyage et conservation. La “Chenàra”, construite en 1860 à la place d’un vieux moulin, fut active jusqu’en 1977.[/vc_column_text][vc_masonry_media_grid grid_id="vc_gid:1652251471319-f18bf362-9aaf-9" include="6970,6974,6978,6982,6986,6990,6994,6998,7002"][/vc_column][/vc_row]

Le vieux pont et la Rue des Moulins

[vc_row][vc_column][vc_column_text]On ne peut pas établir avec précision l’époque quand les premiers moulins à eau sur le “Rio Stava” (“torrent Stava”) ont été construits, mais leur apparition remonte sûrement il y a plusieurs siècles, car, déjà à partir de 1378, dans un parchemin conservé dans les archives communales à Tesero on parlait du “Rio dei Mulini” (“Torrent des Moulins”) pour indiquer le “Rio Stava”. L’homonyme Rue des Moulins (“el rü”, dans le dialecte local) longe la droite orographique du torrent à partir des arcades imposantes des deux ponts. Le pont sur le Rio Stava a été documenté pour la première fois

La vallée de Stava qu’il était dans le passé

[vc_row][vc_column][vc_column_text] Le trait moyen-bas de la vallée de Stava, compris entre Tesero et le hameau homonyme, est une des zones de la vallée de Fiemme les plus anciennement habitées et exploitées pour la subsistance de la population. Stava se trouve sur la route qui porte de Tesero à Pampeago et on peut aussi la rejoindre en faisant une balade praticable par tout le monde ou en vélo tout terrein. On part de Tesero, du pont qui traverse le torrent Rio Stava, en remontant son cours sur environ 3 km. Des tableaux donnent des informations sur le territoire traversé. Le long